FAQS

Question 1

OBNL, fondation, organisme de bienfaisance enregistré… TUX Karma, c’est quoi?

Answer

TUX Karma est un organisme de bienfaisance enregistré auprès de l’ARC. Concrètement, cela signifie que nous pouvons recevoir des dons et remettre des reçus, mais, surtout, que nous ne pouvons pas faire n’importe quoi de notre temps et notre argent – nous rendons des comptes à l’ARC.

Question 2

TUX Karma peut-elle adresser n’importe quelle problématique?

Answer

TUX Karma traite de problématiques liées à la justice sociale et environnementale. En tant qu’organisme de bienfaisance enregistré auprès de l’Agence du revenu du Canada, nous avons une liste officielle et claire des sujets que nous pouvons aborder : soulagement de la pauvreté ; avancement de l’éducation ; respect des droits de la personne ; promotion de l’égalité raciale ; promotion de la santé ; protection de l’environnement et des animaux ; droits des peuples autochtones du Canada.

Question 3

Quelles formes peut prendre le soutien TUX Karma?

Answer

TUX Karma peut agir de différentes manières : 1- soutien financier à des projets portés par des OBNL enregistrés 2- participation des talents de TUX à des projets sélectionnés

Question 4

Qui finance TUX Karma?

Answer

TUX est, pour l’instant, le principal donateur de TUX Karma. Cela dit, nous travaillons activement à diversifier notre source de revenus, afin de pouvoir soutenir plus de projets et créer davantage d’impact!

Question 5

Qu’entendez-vous par justice sociale et climatique?

Answer

Nous sommes convaincu.e.s qu’on ne pourra relever les défis majeurs de notre époque qu’à condition de répondre à la question centrale des inégalités – qu’il s’agisse de violences faites aux femmes ou aux membres de la communauté LGBT, de racisme ou de changement climatique. En effet, nous croyons que notre parcours de vie et les chances dont nous disposons varient selon l’endroit du monde, du pays, et même du quartier où nous vivons. Elles fluctuent selon le capital financier et socioculturel de la famille dans laquelle nous grandissons, selon le genre auquel nous nous identifions, selon notre orientation sexuelle, nos identités ethnoculturelles (réelles ou perçues), nos capacités physiques, neurologiques ou selon notre âge. C’est pourquoi, qu’il s’agisse de projets sur la gestion des déchets plastiques ou sur l’accès à l’emploi, nous tâchons de toujours intégrer à notre démarche un prisme intersectionnel. Enfin, nous adhérons à l’idée qu’il n’y aura pas de justice sociale sans action systémique : « c’est quand on abat les barrières liées au genre, à l’âge, à l’appartenance ethnique ou raciale, à la religion, à la culture, aux capacités physiques ou neurologiques, que la justice sociale prend vie. » (Source : ONU) Pour aller plus loin, voir: * L'ONU: https://news.un.org/en/story/2020/02/1057811 * B CORP: https://usca.bcorporation.net/fr/zbtcz02z16/le-b-lab-et-ses-partenaires-publient-le-guide-de-la-justice-climatique-pour-les-entreprises/